Pourquoi investir en Tunisie
L’économie Tunisienne, parmi les économies les plus compétitives et les plus diversifiées à l’échelle africaine et arabe, offre aux entreprises, un environnement d’une qualité meilleure que celui qu’elles pourraient trouver dans les principaux pays concurrents.
Le flux des investissements étrangers a atteint, au premier trimestre de l'année 2018, un montant de 565,4 millions de dinars. Il était de l'ordre de 451,7 millions à la même période de 2017, soit une hausse de 25,2%.
Compétitivité de l’Economie Tunisienne
La Tunisie est la 1ère en Afrique du Nord en termes
- Attractivité des talents| "Global Talent Competitiveness Index 2017, INSEAD"
- Ecosystème entrepreneurial | "Global Entrepreneurship Index 2017, GEDI"
- Innovation | "Bloomberg Innovation Index 2017, Bloomberg"
- Compétitivité basée sur la performance industrielle | "Competitive Industrial Performance Index 2016, UNIDO"
- Développement des TIC | "Measuring the Information Society Report, 2016"
- Passage au commerce électronique | "B2C E-commerce Index 2016, CNUCED"
Compétitivité sectorielle
La Tunisie est aussi :
- 1er exportateur mondial de dattes
- 2e producteur africain de composants automobiles
- 2e exportateur de produits biologiques en Afrique
- 3e producteur mondial d’huile d’olive pour la campagne 2015-2016
source : FIPA
Pourquoi investir au Sénégal
Le Sénégal est :
- La 2ème économie en Afrique de l’Ouest francophone derrière la Côte d’Ivoire
- Un des pays africains les plus industrialisés avec la présence de multinationales d’origine française et américaine.
- Un marché en plein essor avec une structure économique, politique et juridique stable et un cadre fiscal incitatif offrant ainsi une multitude de possibilités pour les entreprises et les investisseurs.
- Signataire de nombreuses conventions internationales, et présente un niveau de risque modéré avec une stabilité et une ouverture reconnue et reste un acteur influent en Afrique.
- Garant de la protection de l’investisseur grâce notamment aux accords de promotion et de protection réciproque des investissements et des accords de non double imposition. L’impôt des sociétés a été réduit à 25%
- Placé sur une route maritime très empruntée permettant une intégration mondiale et régionale grâce notamment aux accords comme l’UEMOA ou la CEDEAO ouvrant le commerce à un très grand nombre de consommateurs.
Secteur bancaire et financement
SENEGAL
23 banques d’origines diverses et 2 établissements financiers actifs au Sénégal.
Le Sénégal peut se targuer aujourd’hui d’avoir un réseau bancaire assez dense.
Le système bancaire sénégalais s’est beaucoup densifié ces dernières années. Les banques sont présentes partout dans la capitale sénégalaise. Dans les régions, certaines d’entre elles ont implanté leurs succursales, pour plus d’accessibilité à tous. Selon un document de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) publié récemment, pour le système bancaire en activité, ‘’23 banques et 2 établissements financiers à caractère bancaire ont été relevés au Sénégal en 2015’’.
Un état des lieux qui confirme une certaine prolifération des banques au Sénégal. Et ces dernières, en fonction de leur secteur d’activités et de leur couverture, ont une certaine classification. Elles varient entre les banques généralistes à réseau national, (CBAO, SGBS, BICIS), les banques à réseau ouest africain qui mènent des politiques favorisant les clients des autres pays d’Afrique à effectuer des transactions économiques et financières dans le pays (Ecobank, Attijariwafa Bank…), les banques d’affaires spécialisées dans le financement d’entreprises (Citibank, Banque islamique du Sénégal) et enfin, les banques spécialisées dont les plus en vue sont la BHS et la CNCAS.
Ainsi, ces institutions qui ont pour rôle essentiel la gestion des moyens de paiement et qui fournissent aux agents économiques les liquidités nécessaires au bon fonctionnement de l’économie sont une vingtaine au Sénégal. Au-delà, le paysage bancaire peut être réparti ainsi : il y a une première catégorie où l’on compte l’institution d’émission qui est la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao), la deuxième catégorie où sont classées les banques primaires ou banques commerciales dont la SGBS, Ecobank, Attijariwafa Bank, entre autres. Il y a aussi les banques de développement comme la Banque nationale de développement économique (Bnde) qui a rejoint le système bancaire sénégalais en janvier 2014 et la Banque islamique du Sénégal (Bis). Enfin, nous avons les systèmes financiers décentralisés dont le Crédit mutuel du Sénégalais (CMS), le Partenariat pour la mobilisation de l’épargne et le crédit au Sénégal (Pamecas).
TUNISIE
Le système financier tunisien comprend la Banque Centrale de Tunisie, 21 établissements de crédit ayant la qualité de banque, 2 banques d’affaires, 8 banques off-shore, 8 bureaux de représentation de banques étrangères, 3 sociétés de factoring et 10 sociétés de leasing, en plus de l’Office National des Postes. Le système financier comprend également le Conseil du Marché Financier, la Bourse des Valeurs Mobilières de Tunis, la Société Tunisienne Interprofessionnelle pour la Compensation et le Dépôt des Valeurs Mobilières, les sociétés d’investissement et les Organismes de Placement Collectif .
Le système bancaire est parvenu à mettre en place un réseau important de représentations et d’agences. On compte actuellement plus de 1430 agences bancaires, soit approximativement une agence pour 7700 habitants.
Secteurs porteurs
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Infrastructures :
- Le tramway de Dakar
- Le port sec de Kaolack
- L’autoroute à péage de 42km entre Dakar et Diass (première phase terminée, deuxième phase signée)
- L’Aéroport International Balise Diagne à 45km de Dakar, qui sera inauguré en juillet 2015 (l’actuel ne sera plus utilisé pour les vols commerciaux)
- Une voie ferrée de 52 km qui permettra de rouvrir la gare de la capitale
- Le développement d’un port minéralier à Bargny et la construction d’une voie ferrée à Bamako descendant ensuite vers le sud jusqu’à Bamako afin d’exploiter des mines de fer et de bauxite au Mali
Mines :
- Exploitation de fer de la mine de Falémé qui nécessite la mise en place d’un port minéralier et vraquier à Bargny et une voie ferrée et une voie ferrée jusqu’à Tambacounda en cours de réalisation.
Enseignement supérieur :
- Construction d’une université dans la région de Dakar ;
- Aménagement d’une Cité du Savoir à Diamniadio ;
- Constitution dans l’ensemble du pays d’instituts supérieurs d’enseignement professionnel ;
- Construction dans les grandes villes de l’ouest des résidences universitaires aux standards internationaux.
Agriculture :
- Mise en place des fermes (horticulture, lait, aviculture) ;
- Développement de corridors et de bassins céréaliers ;
- Construction d’une usine de dessalement d’eau de mer au nord de Dakar.
Tourisme :
- Aménagement de l’île de Joal Finio ;
- Développement des sites de Mbodiène et de Pointe Sarène.
Industrie et services :
- Fondation
- d’une Zone Economique Spéciale Intégrée à Diass ;
- Construction d’une Cité des Affaires près de Dakar.
Habitat social et cadre de vie :
- Construction et aménagement de logements sociaux.
Zone Economique Spéciale Intégrée (ZESI) :
- Mitoyenne de l’aéroport, une ZESI va être aménagée sur 700 hectares dont 50 ha dans la phase prioritaire. Elle doit offrir des avantages fiscaux et douaniers, un parc industriel, des entrepôts, un guichet unique. Elle devrait être opérationnelle d’ici 2 ans (2016).
Opportunités récentes
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